Yehvann Diouf, Facundo Medina, Neil El Aynaoui au menu du mercato… « on ne va pas s’envoyer en l’air pour faire n’importe quoi » | OneFootball

Le mercato artésien devrait se décanter dans les prochains jours. Plusieurs postes sont forcément ciblés, notamment celui des gardiens de but après les départs de Mathew Ryan (numéro 1) et Denis Petric (numéro 3). Hervé Koffi (numéro 2) est, quant à lui, en instance de départ.

Le nom du portier rémois Yehvann Diouf est revenu ces derniers jours. Relégué en Ligue 2 avec le SDR à l’issue du dernier exercice, le Sénégalais est convoité par le Racing, comme l’a confirmé Jean-Louis Leca ce midi : « Yehvann Diouf fait partie d’une liste où il y a beaucoup de noms. On est sur plusieurs personnes, après on va se poser, il y a forcément une étude sur plusieurs gardiens. Maintenant, il y a aussi des problématiques financières de marché, on ne fera pas n’importe quoi sur chaque poste où on va recruter. On ne va pas s’envoyer en l’air pour faire n’importe quoi, parce que la priorité aujourd’hui, avec les problématiques financières qu’on a, c’est d’être très stratégique et de bien penser avant d’aller faire un investissement et se jeter sur tout et n’importe quoi. »

Le Racing va devoir se trouver un nouveau central

Lens est également en quête d’un défenseur central pour occuper l’axe de la défense à trois. Juma Bah étant prêté à Nice par Manchester City, le poste est vacant au Racing. « On sait très bien qu’il y a des opportunités de marché qui vont se faire ou pas. Et puis, on est assez ouverts avec Pierre pour échanger tous les jours, et plusieurs fois par jour, pour se poser et penser stratégiquement à ce qui est le mieux pour l’équipe et pour le club. »

Le club doit également gérer les sollicitations extérieures pour plusieurs de ses éléments. El Aynaoui, par exemple, Andy Diouf aussi, peut-être Machado ou encore Medina, pour qui le départ ne fait que très peu de doutes. « On ne va pas se mentir au sujet de Facundo, poursuit Leca. On sait qu’avec ce qui s’est passé sur le dernier match, je ne vais pas vous dire qu’il n’y a pas de bon de sortie. C’est très clair. Aujourd’hui [pour les autres], il n’y a personne qui a un bon de sortie. Et le plus important aujourd’hui, c’est d’avoir une cohérence de club. Je ne parle même pas d’équipe, je parle de club. Et une fois qu’on s’est mis d’accord avec le coach, les autres dirigeants, le président, sur où on veut aller, on gardera cette route-là. »