PSG/Lens – Les mots forts de Gradit sur le jeu et les absents parisiens | OneFootball

Ce dimanche à 17h15 (diffusion sur beIN SPORTS) le Paris Saint-Germain (1er) affronte Lens (5e) au Parc des Princes dans le cadre de la 4e journée de Ligue 1 2025-2026. En conférence de presse, Jonathan Gradit, défenseur lensois de 32 ans, a évoqué notamment cette rencontre. Un rendez-vous difficile, mais face auquel il n’est pas défaitiste.

Gradit « Pas forcément les attendre et mettre un bus. »

Comment s’est passé la trêve ? Elle fait du bien ?

Elle arrive très tôt dans la saison, presque un peu trop on a envie de dire. On a eu quelques jours pour se régénérer, cela a fait du bien. Même si j’aurais préféré continuer le championnat, mais on fait avec (sourire).

Un redémarrage compliqué, une belle affiche arrive. Comment s’y prendre face à Paris ?

Si j’avais la réponse, je ne sais pas si je pourrais la donner. Ce sont toujours des matchs particuliers, on connaît la qualité de l’adversaire. Chaque victoire a été presque un exploit de notre part, avec des gros matchs. Ce sont vraiment des matchs à part, il faut être à la perfection.

Il faut jouer les coups qu’on aura, jouer aussi avec de la personnalité. Pas forcément les attendre et mettre un bus, même si c’est facile à dire alors qu’ils ont souvent la possession du ballon. On va essayer d’être ambitieux sur ce match et de croire en nos chances. Il n’y a que comme cela que l’on peut inverser la tendance contre ce genre d’équipe.

Gradit « Je ne suis pas sûr que cela change grand-chose. »

Doué et Dembélé absents, un soulagement ou non ?

J’ai envie de dire oui (sourire), mais en même temps, parce qu’on connaît leur effectif. Il y aura Kvaratskhelia, Ramos…Il y a tellement de qualité, que même si on préfère ne pas les avoir sur le terrain, on sait leur qualité offensive.

C’est une équipe complète, ils ont été champions d’Europe à juste titre, ils ont été vraiment au-dessus. Ils étaient très durs à jouer et ils ont gardé beaucoup de stabilité dans l’effectif. Le plan de jeu est bien établi, ils seront durs à affronter. Je ne suis pas sûr que cela change grand-chose.