Un forfait, un ballottage en défense, un cadre au repos forcé…toutes les infos sur la composition de l’Italie contre la Norvège | OneFootball

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Comme le raconte la Gazzetta dello Sport, À la veille du match décisif contre la Norvège, l’Italie s’avance avec un plan clair : Gennaro Gattuso renonce à l’audacieux 4-2-4 pour revenir à un 3-5-2 plus équilibré, l’un des schémas déjà utilisés depuis le début de son mandat. Un choix dicté autant par la prudence que par les contraintes du moment, notamment l’absence de Sandro Tonali. Le milieu, véritable leader du jeu, ne sera même pas sur le banc afin d’éviter un second avertissement qui l’écarterait automatiquement de la potentielle demi-finale des barrages.

Cette Nazionale sera donc proche de son onze type, mais avec une attitude différente, adaptée à un adversaire plus agressif que les blocs bas rencontrés récemment. L’enjeu du match permettra de mesurer la capacité des Italiens à résister sous pression, à gérer les moments où ils seront attaqués collectivement, plutôt que de devoir s’enfermer dans un long et stérile monopole du ballon.

Au milieu de terrain, Gattuso mise sur un trio dynamique et complémentaire : Barella, Locatelli et Frattesi. Sur les ailes, Politano à droite et Dimarco à gauche devront assurer autant les montées offensives que les replis rapides. Devant, Retegui et Esposito formeront le duo d’attaque. Un dernier doute subsiste en défense. Aux côtés de Di Lorenzo et Bastoni — tandis que Calafiori est forfait — le sélectionneur doit trancher entre Mancini et Buongiorno. Un choix important, car il s’agit de contenir deux attaquants norvégiens très physiques. À l’heure actuelle, Mancini semble offrir davantage de garanties, malgré le coup reçu en Moldavie lors du dernier match.

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