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·17 novembre 2025
Azerbaïdjan/France – Zaïre-Emery savoure, mais rappelle les règles du haut niveau

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·17 novembre 2025

Warren Zaïre-Emery (19 ans), milieu du Paris Saint-Germain, a réagi au micro de TF1 après la victoire 3-1 de la France contre l’Azerbaïdjan. Le jeune international a insisté sur l’exigence permanente des Bleus, malgré une qualification déjà acquise, et sur sa volonté de reconquérir une place durable en équipe de France.
« Que pensez-vous de cette victoire ? On a su faire le travail. C’est compliqué quand tu sais que tu es déjà qualifié, mais on est l’équipe de France, on doit gagner tous les matches, montrer un bon visage. On a des valeurs à représenter et je pense qu’on l’a bien fait en remportant ce match.
Vous êtes dans une bonne période… Je me sens bien, en confiance. Je suis revenu en Espoirs pour ça. Depuis, ça fonctionne bien, je me sens mieux mentalement. Il faut continuer comme ça pour revenir ici en équipe de France. Quand on est ici, il y a toujours de la concurrence, peu importe le poste. Je me prépare de la meilleure des manières. Pour venir, il faut être bon en club, c’est ce que je veux faire.
Arrivez-vous déjà à vous projeter vers cette Coupe du monde ? La saison est encore longue, c’est compliqué. Il y a un bon groupe, de très bons joueurs, et il faut continuer dans ce sens et faire même mieux. Il faut le faire en club maintenant. Tous les joueurs rêvent de gagner la Coupe du monde, certains l’ont fait dans ce groupe. Ce serait un plaisir d’être là, d’aider l’équipe pour atteindre ce rêve. »
Cet Azerbaïdjan/France avait tout du piège psychologique : déjà qualifiés pour la Coupe du monde 2026, les Bleus auraient pu jouer ce match en pilotage automatique. Zaïre-Emery, lui, refuse totalement cette idée. Le milieu du PSG (19 ans), qui revient d’un passage en Espoirs pour retrouver du rythme et de la confiance, incarne cette génération qui ne veut jamais lever le pied.
Son discours est limpide : l’exigence est non négociable, que ce soit en sélection ou en club, où il sait que ses performances décideront de son avenir international. Ce réalisme, ajouté à une maturité déjà impressionnante, nourrit sa projection vers le Mondial. Rien n’est acquis, la concurrence est féroce, mais son ambition transparaît à chaque phrase : maintenir le niveau, faire mieux encore et viser ce rêve que tous partagent dans le vestiaire, soulever la Coupe du monde.









































