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·29 giugno 2025

La presse française juge João Neves après l’Inter Miami

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Paris était bien trop fort. Un mois après avoir torpillé l’Inter Milan (5-0), la bande à Luis Enrique n’a fait qu’une bouchée d’un autre Inter, de Miami cette fois-ci, en huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs (4-0). Titulaire dans l’entrejeu, João Neves a été flamboyant. Habituellement discret face au but, l’ancien du SL Benfica a inscrit le premier doublé de sa carrière, avant de céder sa place à l’heure de jeu. Découvrez les notes et les commentaires qu’il a reçus dans la presse française.

Foot Mercato (8,5) : « Dans un milieu de terrain rayonnant, l’ancien de Benfica a été l’homme du résultat. Ne perdant que très peu de ballons et ayant toujours un coup d’avance sur ses adversaires, le milieu de 20 ans a fait parler sa classe à travers de nombreuses interventions bien senties. Faisant parler sa qualité technique sur des transmissions remarquables, le numéro 87 parisien a fait parler sa grande détermination offensive ce dimanche. Buteur d’entrée sur une tête plongeante, il a doublé la mise au terme d’une belle projection pour finir dans le but vide. Un match plein pour le cadre de l’entrejeu parisien qui a régalé ce dimanche. »


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So Foot (9) : « Il est la preuve vivante que ça coûte moins cher de dépenser 50 millions que d’en dépenser 22 sur Lee Kang-in par exemple. »

Le Parisien (8) : « Quelle activité de la part du milieu portugais, désigné homme du match. Il inscrit le premier doublé de sa carrière, en ouvrant le score de la tête (6e), un copier-coller de son but contre City, et réalisant le break tranquillement (38e) en poussant le ballon dans les filets. Mais au-delà de ses deux réalisations, le numéro 87 a étouffé les Américains en étant omniprésent à la récupération (3e, 8e, 11e, 35e). Il a dégoûté Miami. »

L’Équipe (8) : « Une première période de haute volée, avec un pressing féroce et une activité incessante. Il a mis du rythme par ses orientations et ses renversements. Le tour auréolé d’un doublé, de la tête sur un appel parfait (6e) et à la réception d’un caviar de Ruiz (39e). »

Photo by Alex Grimm/Getty Images

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