Les chiffres terribles de Lens, succès déjà acquis pour le PSG ? | OneFootball

Demain après-midi (17h15), le PSG reçoit Lens à l'occasion de la 4e journée de Ligue 1. Une rencontre, si l'on en croit les statistiques, qui laisse peu de suspense avec des Parisiens en grande réussite face aux Sang et Or.

Demain après-midi (17h15), le Racing Club de Lens se déplace sur la pelouse du Paris Saint-Germain pour le compte de la 4e journée de Ligue 1. Une chose est sûre, cette rencontre déjà compliquée pour n'importe quelle équipe de Ligue 1 le sera encore probablement plus pour les Sang et Or. En effet, les chiffres ne jouent pas du tout en faveur des Sang et Or.

Comme l'indique Laurent Mazure, les Lensois ont perdu 67,39 % de leurs matchs disputés au Parc des Princes face au PSG. C'est simple, il s'agit tout simplement du déplacement le moins aimé des Artésiens dans l'histoire du club. Le deuxième stade le moins apprécié par le RCL est Louis II où il s'est souvent incliné contre Monaco (65,08 %).

Le PSG, la bête noire de Lens

En plus de cela, Lens reste sur six défaites consécutives, toutes compétitions confondues, face au champion d'Europe en titre. Il s'agit d'une série tristement record pour le club artésien dans son histoire face aux Parisiens. Enfin, petit bilan statistiques global : le club du Pas-de-Calais a affronté 31 fois un champion de France en titre au XXIe siècle, pour 17 défaites, 6 nuls et 8 victoires (2 à l'extérieur, à Nantes en 2001 et Lille en 2022).

Un match sur lequel s'était prononcé Pierre Sage hier en conférence de presse, qualifiant le PSG de "meilleure équipe du moment au monde" : "Son registre, c’est d’être très fort en possession, de poser énormément de problèmes à son adversaire parce qu’elle a une manière d’attaquer qui s’adapte à ce que propose l’opposition assez rapidement, sans consigne et sans intervention du coach."

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Une série tristement record

"Cela veut dire qu’il y a des mécanismes dans cette équipe qui sont installées. C’est le travail de Luis Enrique, mais dans tous les cas, ils sont acquis et partagés par l’ensemble des joueurs. C’est un rouleau compresseur lorsqu’ils attaquent. Donc à nous d’être capables de contenir cet aspect et de faire en sorte que cette chose-là se reproduise le moins souvent dans le match" avait-il ainsi indiqué.

Jonathan Gradit, quant à lui, avait prévenu ses troupes : "Ce sont toujours des matchs particuliers. On sait la qualité de l’adversaire, à chaque victoire, ça a presque été des exploits de notre part, avec des gros matchs. Ce sont vraiment des matchs à part, il faut jouer les coups à fond quand on va les avoir, jouer aussi avec de la personnalité et ne pas forcément les attendre et mettre un bus devant, même si c’est facile à dire ! Ils ont souvent le monopole du ballon, mais on va essayer d’être ambitieux aussi sur ce match et croire en nos chances, parce qu’il n’y a que comme ça qu’on pourra inverser la tendance face à ce genre d’équipe."

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