LOSC : Thomas Meunier enchante, Berke Özer déchante | OneFootball

Avant de regagner le Nord de la France pour préparer le match entre le LOSC et le TFC, dimanche (15 heures), Thomas Meunier et Berke Özer ont eu le droit à des destins bien divergents en sélection nationale.

Berke Özer cantonné au rôle de spectateur

Quelques jours après sa victoire contre la Géorgie (2-3), la Turquie savait pertinemment que la tâche serait plus difficile contre l’Espagne. Cependant, les coéquipiers de Berze Özer ne s’attendaient sans doute pas à vivre pareille déconvenue. Sans le dernier rempart du LOSC, en tribune pour ce match, les Turcs ont littéralement pris l’eau face à la Roja. Dans son style si caractéristique (et plaisant), le champion d’Europe a donné une véritable leçon de football à son adversaire.

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Auteur d’un triplé, Mike Merino (22′, 45’+1, 57′) a activement participé à la fête, tout comme Pedri – buteur à deux reprises (6′, 62′) – ou bien encore Ferran Torres (53′), rapidement entré en jeu à la place de Nico Williams. Dans tous les bons coups, à défaut d’être directement décisif, Lamine Yamal n’a pour une fois pas eu besoin d’endosser le costume de héros pour permettre aux siens de terrasser les coéquipiers de Zeki Celik, entré peu après l’heure de jeu. A un moment où le mal était déjà fait.

Thomas Meunier décisif avec la Belgique

Six buts, c’est également le total de buts inscrits par la Belgique contre le Kazakhstan (6-0), toujours dans le cadre des éliminatoires à la Coupe du monde. S’il fallait attendre la fin de première période et un coup de canon de Kevin De Bruyne pour voir les Diables Rouges débloquer la situation, le reste de la rencontre n’était qu’une partie de plaisir pour les coéquipiers de Thibault Courtois.

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Si ce dernier était décisif en fin de partie (79′), Jérémy Doku (44′, 60′) et Nicolas Raskin (50′) avaient corsé l’addition bien avant. Entré à la 70e minute de jeu, Thomas Meunier y allait de son but (87′), le dernier de la partie. Grâce à ce succès, la Belgique reste deuxième avec 10 points en 4 rencontres et surtout un match de moins par rapport à ses concurrents, à commencer par la Macédoine du Nord, surprenant leader d’un groupe à la compétitivité limitée.

Crédits photo : Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport