Sinik : “Je pense aux supporters de Bordeaux actuellement… Les mecs sont toujours là, il y a toujours un noyau. C’est la passion” | OneFootball

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·03 de outubro de 2025

Sinik : “Je pense aux supporters de Bordeaux actuellement… Les mecs sont toujours là, il y a toujours un noyau. C’est la passion”

Imagem do artigo:Sinik : “Je pense aux supporters de Bordeaux actuellement… Les mecs sont toujours là, il y a toujours un noyau. C’est la passion”

Chez Colinterview, le rappeur français Sinik, aka Thomas Idir, a expliqué comment il était devenu supporter et comment s’était fait le choix du club qu’il supporte.

« Il se fait comme ça car mon père jouait à Paris, Porte d’Orléans. Je me souviens que gamin – et c’était rare parce qu’à l’époque déjà le Parc ce n’était pas donné, et ce n’était pas facile d’y aller – j’ai mon père qui rentrait à la maison avec les billets de l’époque, un peu roses… Les billets étaient réels à l’époque. Il me disait donc qu’il avait des places pour aller au Parc et toute la semaine j’étais comme un ouf… En tant que parisien, j’ai grandi avec le Parc à côté, je suis passé devant des centaines de milliers de fois. Tu mets tes pieds là-bas, tu es subjugué par le nombre de personnes, tu regardes ça avec des yeux d’enfant… Tu as une ambiance de fou, les kops à l’époque c’était aussi quelque chose, ça se répondait… Franchement, l’ambiance du Parc de l’époque c’était la foliée. Tu tombes dedans, et voilà, tu n’en sors jamais… Pourtant il y a eu des années compliquées, mais c’est ça qui est mortel dans le foot, c’est que quand t’accroches comme ça avec un club, je pense que peu importe où il va… ».

Et c’est là qu’il a une pensée pour les Girondins de Bordeaux.


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« Des fois, je pense aux supporters de Bordeaux actuellement… Les mecs sont toujours là, il y a toujours un noyau de supporters, alors que c’est compliqué pour eux. Mais c’est la passion. Ça, c’est la passion, il n’y a que la passion qui peut faire ça. On aime nos clubs bien plus que le fait que ça gagne ou que ça perde. Cela fait partie du quotidien, c’est à la maison, c’est chez nous… Et voilà. En tant que parisiens on est plutôt gâtés aujourd’hui, mais on a connu des années vraiment compliquées ».

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