L’Italie va choisir un type de stade bien précis pour les barrages de qualifications à la Coupe du Monde | OneFootball

Notre site web est gratuit et fonctionne grâce à l'affichage de publicités. Merci de soutenir notre travail en désactivant votre bloqueur de publicités. 🙏

Comme le raconte Tuttosport, il reste 128 jours avant le 26 mars, date cruciale où l’Italie disputera la demi-finale des barrages pour décrocher son ticket vers la Coupe du monde 2026. Toute la structure du club Italia est déjà entièrement concentrée sur cet objectif. Jeudi, Rino Gattuso et Gigi Buffon seront à Zurich pour le tirage au sort (à 13 h). Impossible de savoir s’ils viendront munis de porte-bonheurs, mais une chose est sûre : avoir un bon tirage et surtout pouvoir jouer aussi la finale à domicile seront essentiels.

Si l’Italie obtient cet avantage, le stade choisi pour l’éventuelle finale sera très probablement l’Olimpico de Rome, d’autant que Gattuso a décidé de revenir à Coverciano entre les deux matchs, séparés par cinq jours — le second étant programmé le 31 mars.

Pour la demi-finale, l’option numéro un reste Bergame, suivie de Turin (Allianz Stadium) et Udine. L’idée ? Créer une atmosphère compacte, électrique, presque étouffante, un véritable “effet Bombonera” autour des Azzurri. Et cela restera la stratégie même si le tirage réserve la Suède, l’adversaire le plus dangereux du quatrième chapeau, celui au pedigree le plus solide et au souvenir le plus amer (élimination de 2017).

La Fédération italienne aurait pu choisir de maximiser les recettes en cas de revanche contre les Suédois. Mais elle privilégie une approche claire : tout sacrifier — y compris financièrement — pour maximiser les chances de qualification. Pour l’Italie, chaque détail compte. Et c’est dans la chaleur d’un stade compact que Gattuso espère rallumer la flamme du Mondial.

🔥 Les sujets chauds du jour : • « C’est parmi ces quatre équipes que sortira son premier adversaire » : L’Italie va savoir ce soir • • • • « Son arrivée n’a apporté ni progrès visibles ni véritable identité » : le point sur les six premiers matches de Gattuso avec l’Italie