Le 11
·24 novembre 2025
LOSC – Paris FC : « Après un an et demi au LOSC, il était temps que je marque ! », la joie du buteur Aïssa Mandi

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·24 novembre 2025

D’un coup de tête tranquille après avoir profité de l’erreur de Vincent Marchetti, Aïssa Mandi a participé à la fête pour offrir le troisième but au LOSC (3-1, 80′), celui de la victoire face au Paris FC (4-2), ce dimanche soir. Un évènement qui ravit le principal intéressé, lui d’ordinaire si sérieux mais qui n’a pas pu s’empêcher de laisser échapper plusieurs sourires en zone mixte.
« Il fallait recommencer une série et repartir sur de bonnes bases, avec un bon élan offensif. Même si on ne réussit pas tout, au moins tenter et prendre des risques, et être efficace dans la surface. C’est ce qu’on a fait ce (dimanche) soir. Il y a quand même un petit « mais » avec ces deux buts et cette fin de match où on souffre inutilement. Mais on va retenir la victoire avant tout.
On a des joueurs créatifs. Quand Sahraoui joue comme ça, il est capable de ce genre de choses. Il y aura du déchet, forcément, on ne peut pas réussir à tous les coups. On sait qu’on est capables de ce genre d’action. Je pense qu’on prend un but contre le cours du jeu. On domine énormément la première mi-temps, on aurait même mérité de marquer avant sans un grand gardien en face. Je pense que c’est une victoire méritée avec le jeu qu’on voulait faire avant le match.
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Enfin ! En Ligue 1 oui, parce que je suis parti longtemps en Espagne. Mais après un an et demi au LOSC, il était temps que je marque ! (Sourire.) Ça fait aussi partie de l’efficacité offensive, il n’y a pas que les attaquants. Quand nous, défenseurs, on monte, on doit être efficaces, tueurs, courageux dans les courses et les duels. Ça nous a réussi ce (dimanche) soir.
C’était mon dernier match de Ligue 1 à Reims, contre Lyon, du pied, en 2016. Mais c’est un mauvais souvenir vu que c’était le match de la descente, donc j’essaie de l’oublier celui-là (sourire).
C’est une question à poser au coach ou au président ! (Sourire.) Tant que je suis là, je vais tout donner, comme tous ceux qui iront à la CAN. Je pense qu’on a un gros effectif pour pallier ces départs. On n’en parle pas du tout dans le vestiaire. »
Propos recueillis par Enzo PAILOT
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Crédits photo : Philippe Lecoeur/FEP/Icon Sport









































