Bordeaux : "C’est ce qui va arriver dans le futur", Marouane Chamakh annonce sa future arrivée sur le banc des Girondins
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D’ici quelques années, Marouane Chamakh a fait savoir qu’il viendrait entraîner les Girondins de Bordeaux.

Une star de retour là où tout a commencé. En 2019, le monde du football perdait un nom iconique en France : Marouane Chamakh. L’ancien international marocain s’est, depuis, montré assez discret. Ce mardi, l’attaquant désormais âgé de 41 ans a donné une interview à nos confrères de So-Foot. L’occasion pour l’ancien d’Arsenal de revenir sur son amour pour les Girondins de Bordeaux. Et notamment son envie d’entraîner le club au scapulaire prochainement.

« Si ça me ferait kiffer de coacher Bordeaux un jour ? Ouais. C’est ce qui va arriver de toute façon, dans le futur. En fait, mon objectif, c’était d’un jour entraîner les Girondins, mais là… Pourquoi pas commencer par un club ici au Maroc, pour la pratique. J’en ai parlé avec un coach d’un club du coin, pour la pratique, après intégrer petit à petit la fédération » a-t-il fait savoir dans un premier temps avant de poursuivre et de dévoiler son plan pour l’avenir. « Je passe mon diplôme B, bientôt le A à valider et une fois que je l’aurai, on verra ce qu’on fera. Aujourd’hui, j’ai aussi quelques business : un restaurant, un peu dans l’immobilier, dans l’agriculture, j’ai un call center. Mon rêve, c’est d’être président, prendre un club. Ça arrivera dans le futur. Bordeaux, c’était un objectif, mais je vais les laisser se reconstruire, déjà. »

Bordeaux remonte la pente

Après un début de saison compliqué, et une pression de plus en plus importante sur les épaules de Bruno Irles, le FCGB est parvenu à redresser la barre. Malgré tout, le bilan en championnat n’est pas encore assez bon pour une équipe sensée surdominer la quatrième division tricolore. Les Girondins continuent toutefois de bénéficier d’une importante couverture, avec la retransmission de leurs matchs tous les week-ends. Mais Marouane Chamakh continue-t-il de suivre les Marine et Blanc ?

« Pas cette année. C’est de la torture, ce qu’ils ont fait au club. Il faut accepter, de toute façon on n’a plus le choix, on est dos au mur. Avant, je faisais souvent des allers-retours pour aller voir Bordeaux. Même en Ligue 2, j’avais fait les trois ou quatre derniers matchs de la saison. »

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